Camille Claudel disait « Mon grand désir, mon idéal, est de mettre dans les formes que je tire de la pâte, une idée ! ».
Pour les femmes nues de Cécile Tarel, l’idée, plus exactement, l’émotion est celle de la tendresse, celle de l’innocence presque candide, qui rappelle à quel point les rondeurs peuvent faire tourner la tête aux hommes et attiser la jalousie des femmes, du moins celles qui ont perdu la fraicheur de leur jeunesse.
La vérité qui se révèle dans les courbes et la longue chevelure est celle de la vie intime qui anime et réchauffe [...]