1963 voit le décès de Jo Amado.
En 1964, c’est la première de ces sculptures « hors commande », le Crâne « qui dénonce puissamment la présence de la mort… Modifiant un rapport à l’espace, s’instaurait un lieu d’équilibre, une dialectique de la forme et du vide. Désormais l’objet prenait naissance sur le vide » .
Il se remarie en 1965 avec Claudie Duhamel
et participe la même année à l’exposition Internationale Céramique Contemporaine du Musée Cantini, Marseille. La même année, grâce à Jean Dubuffet, pour qui il joue un rôle de praticien, il rencontre et expose à la galerie Jeanne Bucher, créée en 1925, une des grandes galeries de l’époque. Sous l’influence de Dubuffet, il arrête l’émail en 1971, et dans le même temps il expérimente l’usage d’oxydes pour teinter ses pièces. Désormais la forme et le vide sont prépondérants.
« Il s’agissait pour l’artiste de faire disparaître l’émail, pellicule de surface, au profit d’une unité plus simple définissant la force de l’objet sculpté dans son homogénéité ». (cité dans le catalogue de l’exposition des Arts Décoratifs). L’état achète la Tatoue Démolie en 1970.