Dans son large registre pictural, elle remet au goût du jour l’imagerie fantasque et mystérieuse des légendes mythologiques sur la féminité, les baigneuses de Raoul Dufy
ou encore la Danse enivrante de Henri Matisse.
Déesses dénudées, nymphes érotiques, ondines au bord des eaux, femmes oiseaux, anges sexués ou coquettes du XXIème siècle telles les héroïnes de
Pedro Almodovar…, Elles
sont belles, fraiches et éprises de liberté et de sensualité.
L’amour, encore et toujours l’amour, ..., mis en scène en carnaval céleste.
Car tout près de ses jeunes rondes dansant de folles farandoles rode comme tapi, l’esprit malin de la bête déguisée en loup, taureau ou cygne.
‘Fille de la Terre et du Feu’, l’œuvre de Sophie Combres est à l’image de sa personne, forte, pétillante et rayonnante de joie,
malgré la maladie qui l’a emmené prématurément en 2006.